trouver un rythme de sommeil

trouver un rythme de sommeil avec un bébé: tout un art???

une vraie galère tu veux dire... bon, ok, pas constructive du tout là mais j'ai galèré très longtemps et c'est pas complétement fini alors franchement je ne me sens pas du tout dans "l'art" sur ce coup-là... et pourtant dieu sait qu'il y en a des choses à dire, mais y'en a tant que je ne sais même plus par où commencer... je crois que pas l'heure pour l'instant... ok, je

annem ^_^/

je drais plutot qu'il s'agit d'un apprentissage, une adaptation qui dure des mois voir des années (j'ai du mettre 20 ? mois à m'y faire).

oui moi aussi je trouve une vraie galère !! avec un ça va on dort en meme temps mais dés qu'il y en a plus pas possible !! surtout quadn c'est en decalé. et ne parlont pas de la nuit !!!

je veux dormiiiiiiiiiiiiirrrrrrrrrrrr


bon ok pas très constructif non plus

Moi je dors

Je cale ma pucette sur mon épaule je respire ses cheveux et je dors...
Je fais attention de baisser la couette mais on chauffe notre chambre un peu plus que d'habitude.
Quand j'entends des scrounch scrounch ça me reveille, je lui mets le sein dans la bouche, elle tète et on dort...

ON a un lit de 2M de large et si un autre enfant a besoin de venir c'est possible, par contre je fais attention que le bébé ne soit pas entre nous mais du côté du mur !

MOn fils a été celui qui est parti le plus tard de notre lit, vers 2 ans 1/2 je l'ai endormi dans le sien, et il nous rejoint de temps en temps encore mais de plus en plus rarement et moi ça me manque

Moi il me semble que j'aie eu des amours comme misslady bird (lettre partie)
C'est après le décès de ma fille que j'ai tout à fait perdu le sommeil de peur de n'être pas là si besoi. Depuis je suis décalée, c'est évident. Et jean-Baptiste le têteur, ronfleur, pêteur qui convoquait sa grosse caisse (machine de prévention mort subite genre ouuuu ouuuu ) lui m'a pompée les nerfs le jour mes nuits etant à peine en pointillé. Mais lui allait très bien. C'est mon corps qui le vivait mal, et peu à peu le psychisme. Heuresement que j'avais les files pour me rappeller, nous on ne t'a jamais fait ça , hein, on est trop proches de toi, lui c'est l vilain et puis c'est un garçon il sent pas bo de la bouche
Et moi: qu'ai-je fais au Seigneur pour que mes enfant se jalousent. C'est vrai qu'il pête et qu'il tute la nuit mais elle devraient te louer d'avoir un petit frère.
Oui je sias il sens pas la rose alors.....

ben, j'avoue que je suis parvenue au delà du bout de la ficelle... mes journées me paraissent immenses, pas que je m'ennuie (pas le temps!) mais parce qu'elles se passent dans un brouillard plus ou moins denses... je crois que dès qu'on aura nos chambres faites je serais obligée de laisser pleurer un peu ma poupette..... elle aura au moins 16 mois...
je continuerais à l'allaiter mais sinon je crois qu'un jour je vais m'assoir par terre et ne plus me relever.... et en plus comment voulez vous que je fasse des abdos quand le seul truc qui me fait rêver en ce moment c'est un hamac dans un endroit calme où on entendrait que les oiseaux et le murmure d'un ruisseau.......................................

Tu peux peux rêver de vagues, de papillons immenses et délicats, et, telle la belle au bois dormant tu te reveille AVEC des abdos

je profite de ce que je peux comme sommeil, et puis c'est tout. Mon charmant bambin n'est pas sensible à l'effet tétée pour s'endormir, et le cododo relève plus du défi qu'autre chose, à moins d'avoir la peau dure et les oreilles bouchées c'est juste les semaines avec 2à 3 heures de sommeil par nuit qui sont difficiles à gérer, surtout quand elles s'enchaînent.

aiyana, je sais pas comment tu fais, j'ai passé plus d'un an sans bien dormir et je me suis transformée en pile de 300 000 volts sur pattes... 3 à 4heures par nuits franchement, je te tire mon chapeau...
cécile, plein de courage à toi aussi.
nous on est à peu près sorti des crises. il reste juste des réveils occasionnels par-ci par-là mais franchement rien à voir avec les 13 premiers mois de lylian.
missladybird : mesure la chance que tu as, peu l'ont...
bea, raccroche-toi à marie.

Comme dirait ma grand-mère "Il faut savoir faire avec ce que l'on a", bah voilà, je n'ai pas dit que c'était tous les jours facile ..et puis bon d'ici une quinzaine d'années je serais presque obligée de le tirer du lit pour avoir l'honneur de sa présence quelques instant le week-end
En regardant les choses du bon côté : j'ai redécouvert les joies de la lecture, je caline encore plus mon champignon , je crois qu'on se raccroche à l'amour, au fait de savoir que nous ne sommes pas seules, que cela ne durera pas 15 ans non plus. Et comme je l'ai dit, j'ai un zhom qui assure donc bon, ça baigne

Prends garde que ton homme ne se fatigue pas trop, c'est si précieux de s'épauler, et d'être une vraie famille

et dans tout ça faut rester jeune et belle!!!!!
m'enfin je me suis lancée dans la fabrication de baumes maisons et je suis très fière du résultat (en plus c'est des ultra-faciles!!!)... je me suis donnée encore quelques jours après je passe à l'action pour ma poupée... m'enfin, j'ai trop peur qu'elle s'arrête de têter en fait... pourquoi cette angoisse? parce que c'est normalement la dernière???

Ce n'est pas parce que tu vas tenter d'aider ta puce à faire ses nuits d'une nouvelle façon que ton allaitement sera fini pour autant
Peut-être appréciera-t-elle d'autant plus sa tétée du matin, qui sait?
Logiquement petit à petit les tétées devraient s'espacer, et puis il faut se préparer à la fin, apparemment tu as déjà commencé, non?
Je ne sais pas si c'est difficile parce que c'est la dernière (?), mais bon 16 mois c'est déjà pas mal, non? Je ne me suis jamais trop posé la question dans ce sens, j'ai sevré l'aînée de commun accord avec elle passé 2 ans, et je ne compte pas allaiter mon bonhomme plus de 2 ans et quelques non plus, besoin de me retrouvée entière au bout d'un moment.
En attendant félicitation pour tes baumes, moi j'ai la flemme d'en refaire, pourtant il faudrait

Pour mon zhom, oui, je sais, l'équilibre est toujours précaire ...enfin là mon bambin fait quelques nuits de temps à autres, donc on se partage les grass'mat' du week-end, quand j'aurais vraiment récupéré j'essayerai de faire mieux. Là c'est trop difficile

bah, on a des zhoms bien : malgré tout ils sont là et ils assurent (en râlant parfois mais bon...)
oui, je sais, c'est bête mais je me pose plein de questions en ce moment, et j'ai l'impression de pas vouloir franchir le cap, comme so pour moi, il faut que marie reste bébé... en fait c'est un peu comme si j'avais découvert une façon de materner tellement plus comblante que celle que j'ai pratiqué pour mes deux aînés que là je décroche pas....
je sais, ch'est pas bien!!!
mais je pense que c'est un peu normal, la fatigue doit m'obscurcir un poil les neurones et me rend sentimentalement à fleur de peau.. l'autre jour j'ai pleuré en regardant l'âge de glace............

Déjà tu t'en rends compte, c'est énorme Beaucoup de mamans ont du mal à ne pas voir leur petit dernier grandir, même devenus adultes.

Biensûr que c'est dur de voir son bébé se transformer en enfant parfois, mais c'est ainsi, on le sait à l'avance. Et puis chaque âge offre tellement qu'on a de quoi être émerveillée par nos enfants trèèèès trèèèès trèèèèès longtemps

Chaque allaitement allant s'estompant, je pleurait devant le bercéau où un bébé comblé d'epinards et de petitd filous dormait avec les anges. Et je le caressais pour le reveiller. Et je me couchait comme abandonée, inutile, un mauvais fruit.

Ah bah je ne suis pas une nostalgique de l'allaitement alors Je ne vois pas ça comme primordial dans mon rôle de mère, j'allaite comme je donne un bain, comme je joue avec mes enfants, comme beaucoup de choses quotidiennes en fait. C'est vrai que l'on a une proximité lors de l'allaitement, mais on en a tout autant lors de grooos câlins tendresse, lors de promenade en écharpe ou porte-bébé, lors des massages ou lors de cododo, non?
On offre notre lait parce que c'est plus simple, parce que c'est la norme biologique, petit à petit le sytème digestif se mature et notre lait est de moins en moins indispensable à la survie de notre petit.

On donne la vie non pas pour soi-même mais pour elle-même, enfin je vois les choses ainsi, je ne suis que passagère dans la vie de mes enfants, je suis un de leurs guides temporaires, j'essaie juste d'être un élément stable et rassurant; l'allaitement ne déroge pas à la règle dans ma vision des choses.